TECHNIQUES DE THERAPIE BREVE
TIPI, EFT, EMDR, PNL, Hypnose, Brain-gym,
Cohérence Cardiaque
TIPI : Technique d'Identification des Peurs Inconscientes
Cette technique est basée essentiellement sur le RESSENTI, capacité naturelle que nous avons tous.
Dans le cadre d’un accompagnement spécifique, vous n’avez qu’à vous « laisser ressentir », sans rien forcer, juste en laissant évoluer vos sensations corporelles.
Les souffrances émotionnelles naîtraient dans le ventre maternel …Ce sont les principaux évènements en période prénatale et à la naissance qui sont revécus lors d’une séance TIPI (bien que non interprétés).
En effet, on a constaté depuis peu que pour régler un problème il existe une voie sensorielle donc corporelle.
Beaucoup de thérapies s'occupent d'émotions, cette technique, elle, utilise le canal corporel.
Le cerveau est conçu pour la guérison, c'est un outil naturel que tout le monde possède.
Les informations sont d'abord sensorielles avant d'être mentalisées.
Les peurs sont considérées comme des clés des souffrances émotionnelles.
Pour qu'il y ait peur, il faut admettre qu'une première expérience désagréable ait préalablement été vécue.
C’est en effet au stade de la survie la plus élémentaire que se nouent les peurs qui engendrent les souffrances émotionnelles les plus tenaces.
C’est cette 1ère expérience qu’il est intéressant de retrouver, directement ou indirectement par l’évocation de situations concrètes, pour désactiver les comportements qu’elle induit.
Rechercher l’origine d’une souffrance par le biais des manifestations de la peur permet de s’appuyer sur des sensations physiques très concrètes, facilement identifiables.
C'est à travers son ressenti physique et non avec son intellect qu'il faut rechercher l'origine de la peur.
C'est là toute la difficulté car nous sommes habitués à réfléchir plutôt qu'à ressentir.
Tout le monde sait naturellement « se souvenir » avec son corps, il n’y a donc qu’à se laisser porter par cette mémoire sensorielle.
Le seul fait de revivre les sensations éprouvées lors d'un moment critique est généralement suffisant pour désamorcer cette peur et désactiver la racine émotionnelle impliquée.
Donc comprendre sans revivre les sensations ne soulage pas la souffrance, tandis que revivre les sensations sans forcément les comprendre permet l’apaisement, le soulagement, la « délivrance », la résilience (la reconstruction).
On sait que l'on est arrivé à la résolution donc disparition de la problématique lorsque la peur ne se manifeste plus.
Racines du conflit
Une problématique peut avoir 2 racines, rarement plus.
Par ailleurs, on ne parle pas de « peler l'oignon » car la résolution de la problématique ne dépend ni de la gravité du problème, ni de l'importance du problème, ni de l'ancienneté du problème.
« Peler l'oignon » sous-entend que le problème est constitué de différentes couches qu'il faudra ôter au fur et à mesure et que cela prendra du temps ; ce qui est faux puisqu’une phobie de 20 ans peut être supprimée après une séance TIPI.
Avec TIPI, on travaille directement sur une situation CONCRETE et indirectement sur une émotion, un symptôme (sauf si la personne sait absolument quand a commencé le symptôme), une situation imaginée, future.
Domaine d’intervention
Tout ce qui tourne autour du mal-être (déprime, phobie, inhibition, irritabilité, angoisse...)
Si pathologie, il est bénéfique de trouver la cause primaire, originelle car le cerveau répond à une difficulté, à une contrainte donc à cette cause originelle par une maladie.
La maladie devient la réponse du cerveau pour sauver le système (réponse pour la survie). La maladie prolonge la vie en quelque sorte.
Deux évènements sont nécessaires pour « faire » une maladie : un facteur programmant et un facteur déclenchant.
Avec TIPI, on va traiter les conséquences de la maladie au quotidien, non pas en termes de symptômes mais en termes de conséquences sur le bon déroulement de la vie.
Contre-indications
Il n'y en a pas.
Elle est néanmoins peu adaptée aux enfants en-dessous de 10 ans.
Elle est à éviter en cas de déséquilibre mental important.
On peut faire tipi à une femme enceinte.
Condition importante
Avoir une situation active c'est-à-dire tout à fait représentative de la problématique et qui génère des émotions « négatives » même si elles sont minimes.
La situation doit être active, concrète, vécue, précise et « datée ».
Il est intéressant que la personne ait sa situation en tête quand elle arrive en consultation d'où l'importance pour elle d’y réfléchir avant.
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EFT : TECHNIQUE DE LIBERATION EMOTIONNELLE
C’est une sorte d'acupuncture émotionnelle sans aiguilles utilisant quelques points (faciles à localiser) d’entrée ou de sortie de méridiens sur le visage, le haut du corps et les mains.
Cette technique, « Emotionnal Freedom Technique » dite EFT a été développée par Gary Craig, un ingénieur de Stanford.
L’EFT s’adresse à tout le monde (enfants inclus) et on peut très facilement l’apprendre.
C’est une méthode efficace pour réduire l'impact des traumatismes et des évènements stressants.
L'effet de cette technique énergétique calme et vous permet de penser plus clairement à votre problème, en réduisant le stress.
Dans la plupart des cas, l'émotion négative est considérablement réduite ou simplement supprimée.
La mémoire de l’évènement est conservée mais n’a plus aucun effet négatif. Vous vous sentez libéré.
L’EFT traite le stress, le manque de confiance en soi, les peurs, les peines, …
Pourtant, comme pour toute technique, il n'y a aucune garantie que cette méthode fonctionne pour chacun même s’il y a un grand pourcentage de succès. Et elle n’est pas destinée à remplacer les recommandations et prescriptions médicales de votre médecin.
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EMDR : MOUVEMENTS OCULAIRES DE DESENSIBILISATION ET DE RETRAITEMENT DES INFORMATIONS NEGATIVES
Cette technique est basée sur l’utilisation de mouvements oculaires rythmés de gauche à droite et de droite à gauche ; technique qui stimule le processus naturel d’auto- guérison du cerveau émotionnel.
L’EMDR débloque les émotions négatives stockées dans le système nerveux, puis aide le cerveau à retraiter l’expérience pour qu’elle soit assimilée.
Ce processus favorise l’apparition des émotions ainsi que leur évacuation.
En 1987, Francine Shapiro, psychologue californienne, a découvert « par hasard » qu’un mouvement des yeux de gauche à droite lui apportait un état de mieux-être. Elle venait de trouver le principe de l’EMDR. En France, le représentant principal de cette thérapie a été le psychiatre David Servan-Schreiber.
Le fonctionnement de l’EMDR
L’EMDR permet de reprogrammer le souvenir figé d’un évènement
traumatisant en utilisant une méthode de stimulation sensorielle (visuelle,
auditive ou tactile). Cette stimulation agit en désactivant la charge
émotionnelle négative qui est reliée à ces souvenirs. Elle permet de
réinterpréter ces évènements traumatisants et de réduire ou d’éliminer leur impact sur l’image de soi, des personnes de l’entourage et la vie en général.
En effet, l’EMDR vise à faire disparaître la charge émotionnelle d’un
traumatisme vécu, l’image de soi est restaurée, la confiance en soi s’installe.
La blessure psychologique se manifeste par une baisse de l’estime de soi avec
un sentiment de responsabilité par rapport à l’évènement traumatique et une
impression de manquer de contrôle et de sécurité.
L’intérêt de l’EMDR est d’accélérer ce processus de reconstruction et de
reprogrammation, en faisant appel aux mécanismes naturels d’auto-guérison
du cerveau. Ainsi, cette technique soulage des souffrances et de certains
dysfonctionnements liés aux blessures du passé.
Cette méthode peut être utilisée avec des adultes, des adolescents et des
jeunes pour le traitement des troubles anxieux, de la dépression, des deuils,
des troubles somatiques, …
Son efficacité a aussi été démontrée pour la guérison de l’état de stress post-
traumatique.
Indications
Le champ d’application de l’EMDR est assez large :
traumatismes.
abus sexuels.
attaques
de panique, phobies.
suites de deuil.
dépendances physiques.
troubles somatiques.
troubles de la personnalité.
Contre-indications
personnes sujets aux crises d’épilepsie.
personnes alcoolisées.
troubles psychotiques.
prises de médicaments tels que les neuroleptiques (car altération
possible des capacités cognitives).
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PNL : Programmation Neuro-Linguistique
Programmation : recevoir des messages (expérience), les intégrer à sa
façon et développer des habitudes, des savoir-faire, des réflexes
(apprentissage).
Neuro : la perception, le stockage et la restitution des informations
dépendent de notre système nerveux et de notre cerveau.
Linguistique : la structure du langage (verbal et non verbal) reflète la
structure de pensée. Chaque mot est lié à une expérience propre, à un
sentiment spécifique.
La PNL a été développée en 1970 par deux américains, docteurs en psychologie :
John Grinder (linguiste) et Richard Bandler (mathématicien).
Voici 7 domaines clés où la PNL apporte des outils efficaces
:
Communication
Communiquer de façon claire et efficace.
Développer votre impact relationnel en exerçant une influence positive dans votre milieu. Négocier et partager les idées.
Confiance en soi
Acquérir un ensemble de guides d'actions qui vous permettent de définir vos objectifs avec précision et les atteindre.
Qualité relationnelle
Apprendre à négocier gagnant/gagnant. Développer des relations constructives et épanouissantes avec votre entourage.
Excellence
Connaître et reproduire vos stratégies d'excellence - et celles des autres - pour fonctionner en haute performance dans les domaines de votre choix et donner le meilleur de vous-même.
Vision du monde
Intégrer un ensemble de principes et de présupposés qui permettent d'enrichir votre vision du monde et développer votre flexibilité dans le respect et la tolérance des autres.
Direction de vie
Choisir et créer la vie que vous voulez pour vous. En devenir pleinement l'auteur et l'acteur.
Développement personnel
Choisir ses émotions, changer les comportements et les habitudes qui nous limitent.
Définir la
PNL en quelques mots est possible mais tout aussi hermétique que les trois mots désignés par leurs initiales. La Programmation Neuro Linguistique est un ensemble de modèles
descriptifs des structures de la subjectivité de l’expérience humaine.
C’est en fait une approche du comportement et du psychisme humain, synthèse pragmatique de différentes théories et courants de pensées. Elle se situe au carrefour de la psychologie, des
neurosciences, de l’anthropologie, de la cybernétique et de l’intelligence artificielle.
L’idée principale est que l’Homme n’opère pas à partir des propriétés objectives de son environnement, mais bien à partir d’une représentation qu’il s’en fait et qu’il crée, la représentation d’une
réalité distordue.
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HYPNOSE
L'hypnose
Ses mécanismes restent un mystère. Mais son efficacité n’est plus mise en doute. Toute la lumière sur une technique ancienne qui revient très fort.
Qu’est-ce que l’hypnose ?
Tous les spécialistes ont leur propre définition et aucune théorie ne fait autorité. Le phénomène hypnotique est si complexe que les praticiens disent volontiers qu’il y a, non pas une, mais plusieurs hypnoses. Seule certitude : ce n’est pas un état de sommeil, mais un état modifié de conscience (EMC), comme le rêve, la transe, la relaxation, les expériences mystiques, la méditation…
La « transe
hypnotique » correspond à une modification de la vigilance normale – celle qui nous permet de raisonner et de vivre au quotidien. Mais elle a ses caractéristiques : dans un environnement
monotone où rien ne se passe, où les stimuli sont peu intenses, notre cerveau est en « manque » d’informations. Il se met alors à en produire lui-même en puisant des images dans notre
inconscient. En quelque sorte, on « rêve » tout en restant conscient. En outre, contrairement à l’état de vigilance normale, où l’attention embrasse de nombreux centres d’intérêt en même
temps et passe rapidement de l’un à l’autre, elle est concentrée, en hypnose, sur un sujet beaucoup plus restreint. C’est ainsi que, peu à peu, la personne hypnotisée oublie la
réalité extérieure pour entrer dans une réalité intérieure, mais qu’elle vivra comme extérieure.
Seule exception : la voix de l’hypnotiseur continue d’être entendue. Ses mots deviennent un stimulus très particulier qui augmente le pouvoir de la suggestion. Celle- ci provoque
alors des changements psychologiques ou physiologiques inhabituels (disparition de douleurs aiguës ou d’un eczéma, etc.). Pourquoi ? Comment ? Cela est encore à ce jour un
mystère…
A-t-elle été prouvée scientifiquement ?
Ses effets sont prouvés scientifiquement. Une suggestion hypnotique entraîne des réponses neuronales.
« Dormez, je le veux ! » Cette formule légendaire est désormais réservée au music- hall… Pratiquée par un psychothérapeute, l’hypnose est déclenchée de manière progressive. Une séance dure 45 minutes. Allongé sur un divan, le patient ferme les yeux ou fixe un point précis dans la pièce. Assis sur une chaise à côté de lui, le thérapeute l’invite à se détendre. C’est la phase de « préinduction ». Certains professionnels utilisent un équipement sonore qui diffuse une musique apaisante, et parlent dans un micro d’une voix douce et monocorde. Ils proposent au patient de se concentrer sur certaines zones du corps : c’est la phase d’« induction », qui lui permet de fixer son attention sur lui-même. Une somnolence peut s’installer.
Le thérapeute répète des suggestions, directes (« Votre douleur au bras disparaît ») ou indirectes (« Vous êtes dans un endroit agréable »).
A la fin de la séance, le patient "se réveille" en douceur au terme d’un compte à rebours, pour retrouver le contrôle de ses muscles et revenir à la réalité sans sensation de
malaise. Puis, patient et praticien commentent la séance.
Traditionnelle : L’hypnothérapeute joue un rôle de premier plan – c’est lui qui dirige la séance. Il prononce des suggestions « directes » (appelées « injonctions »), tandis que le patient reste passif.
Semi-traditionnelle : L’hypnothérapeute, toujours au premier plan, émet à la fois des suggestions « directes » et « indirectes ».
Nouvelle : L’accent est mis sur la personne et sur sa relation avec son thérapeute, par des échanges, une communication.
Ericksonienne : Le patient participe à sa mise en condition hypnotique. Le thérapeute utilise des métaphores pour que l’inconscient du sujet choisisse lui-même les solutions de ses problèmes.
Selon l’échelle de « suggestibilité hypnotique » mise au point par l’université de Stamford, 5 % d’entre nous sont réfractaires à l’hypnose et 10 % seulement parviennent à entrer rapidement en état d’hypnose profonde. Mais on ignore toujours pourquoi : il n’y a, à ce jour, aucune corrélation démontrée entre la structure de la personnalité et la suggestibilité.
- L’arrêt du tabac : 80 % de taux de réussite. L’hypnose aide aussi à lutter contre les effets du sevrage
- L’excès de poids et la boulimie : elle exerce un bon rôle de soutien
psychologique dans les cures d’amaigrissement.
- Lutte contre la douleur : elle ne remplace pas l’anesthésie, mais peut la
compléter et permettre de diminuer les doses de médicaments. Elle est aussi de plus en plus utilisée en chirurgie dentaire.
- Les troubles psychologiques : stress, phobies, névroses, anxiété, mais aussi
impuissance, frigidité, problèmes de trac, de mémoire, etc.
- Les troubles digestifs : ulcères, colites ou diarrhées dus au
stress.
- Les maladies psychosomatiques : maladies de la peau (eczéma, psoriasis,
etc.), spasmophilie, rhinites à répétition, troubles de la voix et du chant, asthme.
- ...
- Par contre, pas d'effets en cas de troubles psychiatriques graves, comme la schizophrénie ; dans le cadre d'un sevrage des drogues dures ou de maladies chroniques graves, telles que le cancer.
Oui. En fait, les professionnels affirment aujourd’hui que toute hypnose est une auto- hypnose, le véritable pouvoir de transformation ou de guérison se trouvant dans l’esprit de la personne hypnotisée, et non dans celui de l’hypnotiseur.
Cette question est au centre de débats passionnés. En état hypnotique, on peut se souvenir d’authentiques événements oubliés, voire «refoulés». On peut aussi, en hypnose profonde, voir apparaître des fantasmes comme s’il s’agissait d’événements réels : leur véracité est telle qu’on ne peut les distinguer de vrais souvenirs, car notre cerveau a la possibilité de modifier ou de reconstruire un événement.
Il n’y a donc, à ce jour, aucune réponse définitive ni sur la réalité des souvenirs, ni sur l’influence de l’hypnotiseur par un phénomène de transmission d’inconscient à inconscient, voire télépathique…
Non. On se « réveille » toujours, quoi qu’il arrive. D’abord parce qu’on ne dort pas ! Ensuite parce que, si aucune suggestion ne l’entretient, le fonctionnement hypnotique se dissipe de lui-même. Quant à la prétendue influence négative de certains hypnotiseurs, entretenue par le cinéma, elle relève de la légende : aucun hypnotiseur ne peut vous forcer à faire quelque chose qui va à l’encontre de vos valeurs morales. L’hypnose n’est pas un lavage de cerveau ! On ne révèle pas ses secrets les plus intimes si on ne le désire pas…
Elle peut en
soigner certaines comme les acouphènes (bourdonnements d’oreille contre lesquels la médecine est impuissante). L’hypnose permet d’installer une passerelle entre le corps et l’esprit et
d’activer nos mécanismes d’auto guérison.
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BRAIN-GYM
La "Brain Gym" qui a été mise au point aux Etats-Unis par le chercheur Paul Dennison, propose d'utiliser le corps pour mieux apprendre : ce courant éducatif a mis au point 26 mouvements simples qui ont chacun leurs vertus.
Certains aident à évacuer les tensions pour mieux se
concentrer. D'autres favorisent la compréhension et la mise en mémoire en stimulant les deux hémisphères du cerveau, d'autres encore peuvent aider à mieux lire ou à équilibrer les
émotions ...
Pour que les apprentissages soient efficaces et durables, nous ne pouvons pas dissocier activité intellectuelle et activité physique. Certaines notions se construisent avec le corps, comme se repérer dans l’espace et le temps ou se situer par-rapport à un point spatial par exemple.
Le corps est donc un vecteur d’apprentissage et son utilisation dans les situations d’apprentissage facilitent les acquisitions intellectuelles
Cette pratique aide à :
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COHERENCE CARDIAQUE
Définition
La Cohérence Cardiaque est un
état d’équilibre physiologique, physique, mental et émotionnel qui induit un recentrage, un ressourcement et un renforcement de chacun de ces domaines.
À la base, la Cohérence Cardiaque n’est ni une pratique ni une méthode, mais un état particulier du
fonctionnement humain qui peut être induit par des pratiques simples.
L’état de Cohérence Cardiaque n’est pas spontané, il doit être induit par une pratique volontaire qui peut être respiratoire, émotionnelle ou
mentale.
L’état d’équilibre de la Cohérence Cardiaque est physiologique, inné et programmé dans notre système nerveux autonome, il ne reste qu’à y parvenir et à
l’exploiter.
Bénéfices de la Cohérence Cardiaque
Effets d’ordre physiologique :
Effets d’ordre physiologique :
D'ordre psychologique et mental :
Pratique de la Cohérence Cardiaque
Il n’y a pas d’effet bénéfique à moyen ou à long terme sans pratique régulière de la Cohérence Cardiaque. Il s’agit de l’introduction d’une routine régulière de courte durée pour induire un changement positif de longue durée.
Pour introduire la Cohérence Cardiaque dans un objectif de mieux-être il vaut mieux commencer par la méthode la plus simple possible.
Le plus simple, c’est d’utiliser l’induction respiratoire avec la règle simple du 365
La méthode du 365 :